Ce week end, c’était la 4ème rencontre nationale Urban Sketchers France. Pas d’excuse de louper l’évènement, ça se passait à Bordeaux. C’est un mouvement de croqueurs de rues qui organise de temps en temps des rassemblements pour faire du dessin une activité un peu plus sociale.
Catégorie : Croquis
Quand j’ai parlé d’un palace 5 étoiles, j’ai été un peu modeste… j’aurai du parler d’un palace 234 milliards d’étoiles, mais vous auriez peut être trouvé que j’exagérais… Voici quelques bouts de nos nuits sur la route, de Busselton à Frankland River, en passant par […]
Et voilà que le temps s’est à nouveau échappé !
Je me rattrape en vous faisant une mise au point en images.
Le temps passe vite, et me voilà en Australie.
Après 12h d’avion jusqu’à Ho-Chi-Minh, 2h d’escale, 2h d’avion jusqu’à Singapour, 30h d’escale et 42 chocs thermiques (entre la température extérieure de 35degrés avec 99% d’humidité dans l’air et la climatisation à fond les ballons des intérieurs…), 6h d’avion jusqu’à Perth… et 20 minutes devant la porte close de l’auberge de jeunesse (réservée la veille depuis le wifi hasardeux de l’hôtel miteux à Singapour), une sonnette qui ne fonctionne pas et un numéro de téléphone incomplet, l’aventure (et le jet lag) commence.
Je craque, je croque et ça croustille !
Il y a quelques semaines, j’avais acheté des carnets. Des petits, et des un peu moins petits (presque moyens, pas trop grands, faut pas déconner quand même). D’abord, parce qu’un magasin de fourniture de beaux arts et loisirs créatifs du coin soldait tout son stock à -40% pour cause de liquidation proche (y’a pas que les artistes qui crèvent la dalle visiblement, y’a aussi les fournisseurs d’artistes), ensuite parce que j’avais décidé de me remettre sérieusement aux croquis. La base quoi… (enfin, normalement…)
Vendredi dernier, avoir passé un petit morceau d’après-midi dans l’atelier d’une chouette fille qui fait de chouettes trucs (illustrations/peintures/gravures/entre autres carnets de croquis et de vie bien chouettes aussi…), m’a motivé à m’y mettre vraiment. Genre là, tout de suite. C’était devenu urgent. La télépathie entre mes feutres, mes carnets et moi-même ayant atteint ses limites, il a fallu que je me munisse d’un stylo, avec ma main pour faire des traits sur le papier du carnet. Dingue ! (comme quoi, c’était pas si difficile…)
M’y remettre : c’était fait.
M’y tenir reste à faire.
Au moins presque tous les jours, pour commencer…